Sos Planète.Qu’est-ce qu’il changera après Bali ?

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Dans le mois de décembre 2007, la communauté internationale s’est réunie deux fois pour prendre d’importantes décisions sur son avenir. La conférence internationale des Nations unies sur le climat de Bali (du trois au treize décembre) et la réunion pour le moratoire sur la peine de mort auprès du siège ONU de New York, le 18 décembre 2007. Les deux accords mondiaux ont eu des centaines de signatures et le consensus de presque toute la Société des Nations. Mais, dans les deux circonstances, la question reste toujours la même: il changera quelque chose après la signature des traités ? Sur le document final de la conférence sur le climat, baptisé Bali roadmap, cette fois il n’y a pas eu non plus une défection: 190 oui (États-Unis compris) pour s’engager tous ensemble à acheminer deux ans de négociations jusqu’au sommet de Copenhagen en 2009, où les problématiques du post Kyoto, elles seront affrontées.

La décision unanime des États participants à la conférence de Bali a étonné les observateurs les plus sceptiques, surtout pour la présence à l’intérieur de certains pays en voie de développement, dépourvus de n’importe quelle obligation vers le Protocole de Kyoto. Ils aussi ont accepté d’entreprendre “actions appropriées” pour la réduction de gaz à effet de serre en réussissant à obtenir par échange financements et nouvelles technologies. La réduction de la pollution atmosphérique est objective de tous, mais sur les solutions pour y arriver, il n’y a pas encore un accord unanime.

La conférence a eu le seul devoir de trouver des accords préliminaires, une plateforme commune qui sera après discutée dans les sommets suivants sur le réchauffement à partir de la conférence en Pologne cette année. Mais pendant ces deux ans pour se décider sur quoi décider servira un compromis tout encore à trouver. Est-ce que règles d’émission d’anhydride carbonique il faudra imposer aux transports aériens et maritimes, oubliés par Kyoto ? Est-ce qu’il est permis d’imposer méthodes de réduction des émissions efficaces, mais chères comme la capture et le stockage de l’anhydride carbonique sous Terre ? Comment peut-on calculer l’épargne d’émissions donnée par le manqué abattage des arbres ? Est-ce qu’il faudra récompenser:les États en voie de développement, encore riches de végétation, ou ceux qui financent travaux dans le respect des zones vertes de ces Pays ? Mais surtout : à qui touche commencer ? Les États-Unis demandent qu’un accord mondial sur le climat s’applique en égale mesure aussi à la Chine et à l’Inde. Les deux puissances asiatiques, dont leurs économies grandissent aux taux du 9-10% depuis plusieurs années, elles revendiquent par contre le droit de se pouvoir librement développer, comme d’ailleurs ils ont fait les anciens Pays du G8.

Le débat est ouvert.

 

Antonio Torrenzano

 

 

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