Année 2008, le moment de faire des bilans.

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Voilà encore une année qui se termine et voilà le moment de faire des bilans. Loin de moi des idées de vous ennuyer avec un long discours chiffré, je remercie simplement toutes celles et tous ceux qui nous ont honorés de leur visite sur les pages numériques du carnet.

Je tiens donc au nom de toute l’équipe, à remercier de tous les maitres à penser, tous les prix Nobel, tous les écrivains, les journalistes, les professeurs et les fonctionnaires internationaux qui ont bien voulu nous accorder des entretiens et répondre à nos questions. J’espère que par ces conversations et ces dialogues, nous avons pu fixer des idées qui pourront être des options pour demain.

Nos remerciements vont également à tous les lecteurs et à tous les internautes qui nous ont donné de précieux conseils et qui nous ont soulignés, dans une manière ponctuelle et prépositive, leurs critiques ou nos manques. Quelque soit le devenir de notre travail, nous pouvons être fiers du chemin parcouru ensemble avec vos tous et toutes.

Au moment où j’écris, l’alliance de l’économie et de la technique soutenue par la science qui devait offrir de possibilités infinies et une croissance illimitée, elle a raté sa mission. La crise financière et économique est toujours là; le nord de la planète se découvre différent et pauvre, mais il oublie encore l’absolue indigence de certaines régions du sud du monde où les enfants meurent par une simple rougeole.

Au moment où j’écris, de nombreux conflits, bien… très bien visibles, continuent à tuer de milliers d’individus. Au moment où j’écris nombreux de réfugiés, ils ne sont pas rentrés chez eux et, peut-être, ils ne retourneront pas chez leurs habitations pour une longue période. Au moment où j’écris, je reste avec mes interrogations sans réserve, avec l’objectivité du présent, l’utilisation de la critique et du dialogue pour la mise à la question de toute certitude.

Qu’est-ce qui reste quand il ne reste rien ? Ceci, affirme Maurice Bellet : que nous soyons humains envers les humains, qu’entre nous demeure l’entre nous qui nous fait hommes.

Antonio Torrenzano

 

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