Quelle mondialisation pour demain ?

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Le bilan de la crise économique reste problématique. Mais quels coûts sociaux cette mondialisation néolibérale non gouvernée produira-t-elle sur les individus ? Si on veut réfléchir sur la mondialisation après la crise financière du mois de septembre 2008 et la récession économique en cours, la communauté internationale devra reconsidérer la suivante question : la mondialisation ainsi crée a-t-elle produit une communauté avec un système social stable, une communauté avec un projet commun ?

La récession économique et les très graves répercussions sociales qui sont en train de se produire partout, elles représentent pas seulement un brûlant échec, mais elles obligent la communauté internationale et la société civile à considérer la mondialisation un événement social planétaire et pas un simple phénomène d’interdépendances comptables entre économies.

Avec toute évidence, soit dans le champ financier et commercial, comme dans le secteur social, la situation contemporaine réclame des institutions et de nouvelles règles pour gérer les effets malheureux d’une crise qu’elle pouvait être prévenue. Pourquoi alors faut-il changer ? Pourquoi donc faut-il repenser une nouvelle mondialisation pour demain ? Parce que de nouvelles bulles financières, tôt ou tard, produiront d’autres véritables désastres. L’exclusion sociale qui dérive par cette crise est socialement corrosive et politiquement explosive.

L’intégration entre compétitivité mondiale et désintégration sociale n’a pas été une condition favorable à un nouveau statut de bien-être. De nouveaux modèles, en revanche, ils pourront faire fleurir de nouvelles conditions de confiance : une confiance créatrice et laborieuse. La richesse n’équivaut pas simplement à un PIB, mais à l’ensemble de conditions qu’ils concourent à former une nouvelle idée de bien-être.

Roberta Barbera

Antonio Torrenzano

 

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