Sommet du G-20 à Washington:la vertu sauvera-t-elle le monde ?

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Le 15 novembre, vingt États se rencontreront à Washington pour définir dans la brève période de réponses sur comme soulager la crise économique et en faciliter la conclusion. Ceux-ci prendront en outre décisions de longue période pour redessiner les règles de la finance internationale.

Le sommet G20 de moitié novembre est, donc, le début d’un procès qu’il pourra être décisif à la politique économique internationale des prochaines années. La rencontre est historiquement semblable aux négociations préparatoires de la conférence de Bretton Woods avec les mêmes «options réelles» pour la communauté internationale de prendre une nouvelle direction. Les choix pas audacieux failliraient et elles produiraient d’insignifiants effets tampon au statu quo de l’économie d’aujourd’hui. La situation, pour beaucoup de raisons, est-elle identique à celle-là racontée par l’économiste Richard Gardner dans l’essai «The Sterling Dollar Diplomacy» du 1955 et publié par l’Oxford universiy press l’an suivant.

L’architecture du système international financier contemporain n’a pas fonctionné et elle s’est montrée incapable de protéger soit les États soit les individus. La crise financière mondiale exige une réaction mondiale donc, de choix audacieux contre l’aggravation de l’économie réelle et la longue récession amorcée par la crise financière.

Joseph Stiglitz, pendant une réunion près des Nations unies il y a quelques jours, débat convoqué par le président de l’assemblée générale de l’ONU, il a dit: «il ne faut pas perdre de vue que la crise financière touche des individus, des êtres humains. Devant cette crise mondiale, les réactions doivent être guidées par des débuts de solidarité et de justice sociale et ils doivent dépasser les frontières nationales. Il faut repenser l’équilibre nécessaire entre gouvernements et marché, en respectant les débuts de transparence et vigilance. Nous devons nous mettre dans cette perspective qu’il nous permet de comprendre que les marchés et l’économie en générale ne sont pas un but en soi, mais qu’ils sont là pour servir les citoyens. Elle a été inquiétante l’excessive attention qui a mis l’accent seulement sur la recherche de profits à avantage de peu dans ces derniers quinze ans. Les intérêts des entreprises, des actionnaires et des consommateurs ne sont pas identiques aux mêmes intérêts des citoyens.»

Toujours selon le prix Nobel: «La crise nous donne la possibilité de revoir notre doctrine économique et de la compléter avec les grands changements qu’ils sont intervenus dans ces derniers ans, mais qu’ils n’ont pas été codifiés dans les traités mondiaux. Il faut opérer des réformes profondes pour douer les économies de systèmes financiers robustes et qu’elles puissent soutenir la promotion de la prospérité. Ces systèmes devront être plus équitables et non dissimulés. Aujourd’hui,les Nations Unies représentent la seule institution légitime dans ce domaine. Cependant, la réponse à la crise exigera des nouveaux choix et ensuite de faire recours au Fond monétaire international et à la Banque mondiale. Mais ces deux institutions, en priorité, dans les dernières années, elles ont adopté une approche personnelle selon laquelle les forces de marché étaient suffisantes à la réglementation de l’économie.»

Le 15 novembre à Washington, la vertu sauvera-t-elle le monde? La finance de marché a eu la propriété de faire voir dans une longue période les résultats catastrophiques de son immoralité. Et si même la catastrophe de cette magnitude ne parvenait pas à prendre des choix courageux, alors nous pourrons nous demander quel degré de convulsion il faudra atteindre pour obtenir du système le premier doute…

Antonio Torrenzano

 

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