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À la fin de la 4e congrégation générale, la date du conclave reste encore à déterminer. Le directeur de la Salle de presse du Saint-Siège répète depuis longtemps que le chemin qui conduit le Collège cardinalice vers le Conclave est « une situation particulière ».

Ce n’est pas un synode ou un congrès : « ce chemin nécessite d’un certain respect à donner aux participants qui doivent prendre une décision en conscience » sur un des membres du collège. « La tradition du conclave est celle de la réserve » pour que les cardinaux aient «plus de liberté et d’indépendance de décision ». Pour demain, deux congrégations sont prévues, le matin comme l’après-midi.

Hier, quatre cardinaux électeurs sont arrivés à Rome et ils ont déjà prêté serment : le cardinal allemand Karl Lehmann, le cardinal égyptien Antonios Naguib, le cardinal venant de Hong Kong, John Tong Hon et le cardinal Friedrich Wetter, l’archevêque émérite de Munich. À aujourd’hui 113 cardinaux électeurs sont déjà à Rome. Deux cardinaux manquent encore à l’appel. Le cardinal Kazimierz Nycz, l’archevêque de Varsovie devra arriver dans la soirée tandis que le cardinal Jean-Baptiste Pham Minh Man, Archevêque de Ho Chi Minh devrait arriver demain.

Pendant la réunion d’aujourd’hui à huis clos, 18 cardinaux sont intervenus sur des thèmes pour l’Église du XXI siècle. Les «chapitres fondamentaux» abordés aujourd’hui ont été : l’Église dans le monde d’aujourd’hui, l’exigence de la nouvelle évangélisation, le Saint-Siège, le rapport du Saint-Siège avec les épiscopats, les attentes et le profil du nouveau pape, les attentes des cardinaux pour la nouvelle direction de l’Église.

Antonio Torrenzano

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À l’issue de la troisième congrégation générale, mardi 5 février, les cardinaux ont envoyé un télégramme au Pape émérite Benoit XVI. Dans le message, les cardinaux ont affirmé à Benoît XVI « un fervent salut avec l’expression de leur gratitude renouvelée pour tout son lumineux ministère pétrinien et pour l’exemple qu’il leur a donné d’une généreuse sollicitude pastorale pour le bien de l’Église et du monde ».

«Leur gratitude – poursuis le télégramme – souhaite représenter la reconnaissance de toute l’Église pour l’infatigable travail (du Pape émérite) dans la vigne du Seigneur. » Dans ce télégramme, les membres du collège cardinalice se remettent enfin à ses prières « pour eux comme pour toute la Sainte Église ».

Toujours hier, les cardinaux ont analysé l’article 37 de la Constitution apostolique sur la durée du conclave. Un article que Benoît XVI avait modifié quelques jours avant sa renonciation par son Motu Proprio. Au total, lors des trois premières congrégations générales, 33 cardinaux sont intervenus. Ils ont abordé des thèmes variés, dans une manière libre.

Comme déjà décidé lundi soir par tous les cardinaux pendant la première congrégation générale, il n’y a pas été de réunion générale mardi l’après-midi ni mercredi. Cet après-midi, un temps de prière et d’adoration pour l’Église se tiendra à 17 heures dans la Basilique Saint-Pierre. Une célébration présidée par le cardinal Angelo Sodano, le doyen du collège cardinalice.

Antonio Torrenzano

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La Chapelle Sixtine a fermé ses portes au public à partir d’hier mardi 5 mars jusqu’à une date encore indéfinie pour les exigences du prochain Conclave. Pendant toute cette période, précise un communiqué publié sur le site des Musées du Vatican, il sera également impossible de visiter l’appartement des Borgia et la collection d’art religieux moderne des Musées du Vatican. L’interdiction d’accès ne se limite pas aux bâtiments, mais depuis le 25 février les Jardins du Vatican sont aussi interdits au public.

Pour la 25°fois, la Chapelle Sixtine deviendra le témoin silencieux de l’élection du nouveau Pontife. Sous les fresques immortelles de Michel Ange, 115 cardinaux électeurs siègeront et éliront le successeur de Saint-Pierre.

La Chapelle, qui devint seulement depuis le 1996 le siège officiel du Conclave en vertu de la Constitution apostolique de Jean Paul II « Universi Dominici Gregis », sera meublée de 115 sièges en bois de cerisier. Sur chaque siège sera inscrit le nom du Cardinal électeur qui l’occupera.

Antonio Torrenzano

 

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La deuxième journée de congrégation générale a débuté ce mardi matin à 9 heures 30. Hier, les cardinaux pendant leur deuxième réunion de travail en fin d’après-midi ont décidé qu’il n’y aura qu’une séance ce mardi et ce mercredi.

Si rien ne filtre de ces rencontres à huit clos, certains cardinaux se sont toutefois exprimés comme les archevêques américains de Chicago et de Washington. Les deux cardinaux Wuerl et George ont donné hier une conférence de presse et ils ont eu l’occasion de confirmer que les sujets qui fâchent comme l’affaire Vatileaks, ils seraient débattus pendant ce pré conclave.

Aucune date n’est encore annoncée pour l’ouverture du conclave. Conclave qui sera convoqué une fois que tous les cardinaux électeurs seront présents à Rome. Les derniers cardinaux absents sont attendus aujourd’hui. Federico Lombardi, directeur de la Salle de presse du Saint-Siège, l’a répété hier : «cette décision doit être encore murie par les cardinaux ». Une manière de répondre diplomatiquement à la presse mondiale.

Antonio Torrenzano

 

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142 cardinaux sur 207 du monde entier ont participé dans la nouvelle salle du Synode à la première congrégation générale. Entre eux, il y avait 103 cardinaux électeurs. Ils en manquent encore 12 qui devraient arriver dans les jours qui viennent comme il a expliqué le directeur de la Salle de presse du Saint-Siège lors d’une conférence de presse tenue ce lundi midi auprès du Vatican.

La première congrégation générale a débuté avec la prière du «Veni Sancte Spiritus» et dans son ouverture le cardinal Angelo Sodano a parlé de la signification de cet événement. Ensuite, chaque cardinal présent a décliné son identité et prêté son engagement sur l’Évangile ouvert. Le directeur de la Salle de presse du Saint-Siège Federico Lombardi a parlé d’un climat de «grande sérénité », constructif» et « prometteur ».

Les cardinaux ont fait preuve d’une grande lucidité – a-t-il expliqué Federico Lombardi – dans ce temps dédié au discernement. La deuxième congrégation générale s’est tenue à 17 heures. Pour ce qui concerne les prochaines réunions générales, les cardinaux n’ont pas encore décidé s’ils souhaitaient se réunir le matin et l’après-midi comme se produit aujourd’hui ou s’ils se réunissaient seulement le matin comme a précisé Federico Lombardi.

Le cardinal Angelo Sodano, doyen du Sacre Collège, a proposé et les cardinaux ont accepté de préparer un message destiné au Pape émérite, Sa Sainteté Benoît XVI. Le message lui sera transmis ce soir ou demain.

Antonio Torrenzano

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La première congrégation générale du Collège des Cardinaux se développera ce matin à Rome dans la salle du Synode. La seconde congrégation des Cardinaux se déroulera en revanche à 17 heures toujours aujourd’hui. Les réunions ont été convoquées du doyen du collège cardinalice, Mgr Angelo Sodano, comme prévu par la «Constitution apostolique Universi Dominici Gregis », c’est-à-dire depuis le premier jour de la vacance du siège apostolique.

Ce matin, donc le rendez-vous est fixé à 9.30 pour la première congrégation générale. Les cardinaux, électeurs et non-électeurs, se retrouveront dans la nouvelle Salle du Synode au Vatican, près de la Salle Nervi, celle des audiences générales. Pendant les deux réunions, les cardinaux auront leurs premiers échanges et ils prendront leurs premières décisions pratiques pour l’organisation du Conclave. Les réunions devraient se poursuivre pour toute la semaine, et permettre aux cardinaux de se rencontrer, pour certain de mieux faire connaissance, d’échanger leurs suggestions sur les défis auxquels devra faire face l’Église, de décider le jour d’ouverture du Conclave, dernière étape cruciale, celle de l’élection du successeur de Benoît XVI. C’est aussi en Congrégation générale que sera donné le feu vert à l’aménagement de la Chapelle Sixtine, siège du conclave, qui sera alors fermée aux touristes.

Le père Federico Lombardi, directeur de la salle de presse du Saint-Siège, a précisé samedi que l’anneau du pécheur de Benoit XVI ne sera pas détruit, mais altéré. Le père Lombardi a communiqué encore que dans la basilique Saint-Pierre tous les soirs des prières spécifiques sont récitées pour le collège des cardinaux et pour l’élection du nouveau Pontife. Il a ainsi ajouté que du Mexique sont arrivées trois religieuses contemplatives qui à Saint-Pierre prieront de manière permanente pour l’Église et pour l’élection du nouveau Pontife.

Antonio Torrenzano

 

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Les portes du palais de Castelgandolfo se sont refermées à 20h ce soir. Le pontificat de Benoît XVI est terminé. C’est ainsi que s’achève le pontificat du 264° successeur de Pierre, élu le 19 avril 2005 : 7 ans, 10 mois et 9 jours. L’Eglise n’est pas en deuil, mais le Siège apostolique est vacant : une situation nouvelle. Benoît XVI a assuré à son successeur sa déférence et son obéissance. Avant de quitter ses fonction, Benoît XVI a amendé la Constitution apostolique pour autoriser le Sacré collège à anticiper, s’il est retenu opportun, le jour de l’entrée en conclave, une fois constatée la présence de tous les cardinaux.

L’Anneau du pêcheur qui porte le Pape sera brisé comme affirme la « Constitution Universi Dominici Gregis » et les scellés ont été posés sur les appartements pontificaux . De ce soir, il est commencé la vacance du Siège Apostolique. Le secrétaire d’État du Saint-Siège et les chefs de dicastères cessent leurs fonctions. Le collège cardinalice, selon les textes, « n’a aucun pouvoir ni aucune juridiction sur les questions qui sont du ressort du Souverain Pontife ». Ils ne font «qu’expédier les affaires courantes » tout en préparant le conclave.

Le camerlingue, c’est-à-dire le secrétaire d’État le cardinal Tarcisio Bertone, veille « à l’administration des biens et des droits temporels du Saint-Siège ». Au doyen du collège cardinalice, le cardinal Angelo Sodano, incombera l’obligation de convoque à partir de vendredi à Rome les cardinaux pour le Conclave. Dans les prochains jours, les cardinaux se réuniront auparavant en congrégations générales dans la salle du synode au Vatican. La succession apostolique fait partie de l’histoire de l’Église. Les catholiques devront s’habituer à avoir un Pape émérite et un Pape en exercice.

Antonio Torrenzano

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Succéder à Jean-Paul II dans le cœur des jeunes : la chose ne s’annonçait pas facile. La réelle proximité du pape polonais avec la jeunesse, les liens particuliers qu’il avait su tisser avec elle, et son charisme, si évident, semblaient bien difficiles à égaler, surtout pour Benoît XVI, et sa personnalité si différente de celle de son prédécesseur. L’homme est en effet discret, effacé, « préfère le silence des bibliothèques et des monastères». Arriver derrière Jean-Paul II, «pape des foules», « pape des jeunes », et initiateur des JMJ, apparaissait donc «bien compliqué» pour lui. Conversation sur Benoit XVI et les jeunes parmi Manuella Affejee, journaliste à Radio Vatican et Marie-Lucile Kubacki, reporter à l’hebdomadaire La Vie. Le dialogue entre Manuella Affejee et Marie-Lucile Kubacki peut être écouté en Mp3 sur le site de Radio Vatican à l’adresse http://fr.radiovaticana.va/news/2013/02/27/benoit_XVI_et_les_jeunes_:_une_géneration_réenchantée/fr1-668772

Manuella Affejee. La jeunesse, le souci permanent de Benoît XVI  ?

Marie-Lucile Kubacki. Benoît XVI n’a cessé, tout au long de son pontificat, de chercher à s’en rapprocher, à en comprendre les attentes, les peurs et les espérances… jusqu’à en utiliser les nouveaux moyens de communication. Le 12 décembre 2012 dans la salle Paul VI, Benoît XVI twitte les 140 premiers caractères de l’Histoire de la papauté. Le théologien et l’homme de réflexion font son entrée dans l’univers de l’immédiateté. Le pape veut se rendre accessible, et n’hésite pas, pour cela, à se plonger dans la culture même des jeunes. Mais pour eux, Benoît XVI reste un père avant tout, une figure de bienveillance. Il leur a fait une place dans l’Église, il leur a fait confiance, et les jeunes se sont sentis accueillis.

Manuella Affejee. Benoît XVI n’a jamais cessé d’exhorter une jeunesse guettée par la désespérance à ne pas se laisser abattre.

Marie-Lucile Kubacki. À la journée mondiale de la paix 2011, le Pape a affirmé : «Vous êtes un don précieux pour la société. Face aux difficultés, ne vous laissez pas prendre par le découragement et ne vous complaisez pas dans les fausses solutions (…). N’ayez pas peur de vous engager, d’affronter l’effort et le sacrifice, de choisir des chemins qui exigent la fidélité et la constance, l’humilité et le dévouement. Vivez avec confiance votre jeunesse et les désirs profonds de bonheur, de vérité, de beauté et d’amour vrai que vous éprouvez ! Vivez intensément cette phase de la vie si riche et pleine d’enthousiasme».

Manuella Affejee. L’annonce de sa renonciation a suscité une vive émotion parmi les jeunes notamment sur les réseaux sociaux.

Marie-Lucile Kubacki. Les jeunes ont interprété cette ultime décision de Benoit XVI comme un signe d’humilité, comme un geste d’espoir et de confiance pour l’avenir de l’Église. Ils ont donc pris la mesure de la renonciation historique du Pape, mais n’en ressentent pas moins une vraie tristesse. Ils ont l’impression de perdre leur Pape… Un Pape qui aura finalement su leur redonner confiance, et réenchanter une génération, la génération Benoît XVI.

Manuella Affejee

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Benoît XVI a été le premier Pape à “twetter” dans l’histoire de l’Église. La première fois, lors d’une audience générale : c’était le 12 décembre dernier à 11h28. Le message disait: « Chers amis, c’est avec joie que je m’unis à vous par twitter. Merci pour votre réponse généreuse. Je vous bénis tous de grand cœur ».

Ce premier tweet sur le réseau social Twitter par son compte @pontifex, il a mis le feu au réseau. Après quelques semaines, le compte du Pontife a dépassé le million et demi de “followers”. Ce compte deviendra muet jeudi soir à 20 heures, au moment de la renonciation effective de Benoît XVI. Et toujours jeudi 28 février, à 20 heures, @pontifex sera désactivé. Tous les comptes en anglais, en italien, en allemand, en espagnol, en portugais, en arabe, en polonais, en croate, en tchèque, slovaque, roumain et français sont concernés.

Le Vatican a pris la décision de le fermer pendant temps du Conclave. Mais, il sera possible que le porte-parole du futur pape ouvre un nouveau compte Twitter.

Antonio Torrenzano

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Plus de 150.000 fidèles du monde entier venus de tous les continents ont participé à la dernière audience générale de Benoît XVI. Dès les premières heures de la matinée, ils avaient commencé à s’approcher de Saint-Pierre, bloquée par des barrières métalliques, pour vivre les derniers instants publics de leur pape et lui exprimer leur reconnaissance. La place autant que la rue via della Conciliazione – la grande artère menant du Tibre au Vatican – elle était noire de monde. Nombreuses les délégations officielles, les représentants de mouvements d’Église, Focolari, chemin néo-catéchuménal, communauté de Taizé, mais aussi de simples fidèles. Face à cette multitude de personnes venues à rendre hommage à Benoît XVI, le Pontife a développé sa catéchèse en langue italienne. Une catéchèse centrée sur son pontificat. Une catéchèse entamée par des mots tout simples: « Je suis vraiment ému et je vois l’Église vivante ».

« Comme l’apôtre Paul dans le texte biblique que nous avons entendu – a déclaré le Pape – je voudrais remercier tout particulièrement Dieu qui guide et fait grandir l’Église (…). En ce moment, mon cœur s’élargit à toute l’Église à travers le monde et je remercie Dieu pour toutes ces nouvelles qu’en ces années de ministère pétrinien j’ai pu recevoir au sujet de la foi dans le Seigneur Jésus-Christ (…) ». Pour ce qui concerne l’avenir de l’Église, Benoît XVI s’est dit confiant pour le futur de la même.

Comme « Saint-Pierre et les Apôtres dans la barque sur le lac de Galilée ; le Seigneur nous a donné de nombreux jours de soleil et de brise légère, jours où la pêche fut abondante; et il y eut aussi des moments où les eaux étaient agitées et le vent contraire, comme dans toute l’histoire de l’Église et le Seigneur semblait dormir. Mais j’ai toujours su que dans cette barque se trouve le Seigneur et j’ai toujours su que la barque de l’Église n’est pas la mienne, n’est pas la nôtre, mais sa barque, et qu’il ne la laisse pas couler. C’est lui qui la conduit, certainement aussi à travers les hommes il a choisis, parce que c’est ainsi qu’il l’a voulu. Ce fut et c’est toujours pour moi une certitude que rien ne peut ternir. Et c’est pourquoi, aujourd’hui, mon cœur est rempli de gratitude envers Dieu parce qu’il n’a jamais fait manquer à l’Église tout entière, ni à moi, sa consolation, sa lumière, son amour. Nous sommes dans l’Année de la Foi, que j’ai voulu pour renforcer notre foi en Dieu dans un contexte qui semble le mettre de plus en plus en second plan. Je voudrais tous vous inviter à renouveler la confiance solide dans le Seigneur, à vous confier comme des enfants dans les bras de Dieu, certains que ces bras nous soutiennent toujours et sont ce qui nous permet de marcher tous les jours, même dans la difficulté. Je voudrais que chacun puisse se sentir aimé par ce Dieu qui nous a donné son Fils et nous a montré son amour sans limites ».

Benoît XVI a remercié tous ceux qui l’ont aidé, soutenu, aimé. Un Pape « ne peut pas revenir à la vie privée. Ma décision de renoncer à l’exercice actif du ministère, ne change pas cela: je ne reviens pas à la vie privée, à une vie de voyages, de rencontres, de réceptions, de conférences… Je n’abandonne pas la croix, mais je reste d’une façon nouvelle près du Seigneur Crucifié. Je n’assume plus le pouvoir de la charge du gouvernement de l’Église, mais je demeure dans le service de la prière. Saint Benoît dont je porte le nom comme pape, me sera d’un grand exemple ».

Antonio Torrenzano