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Cinq jours après l’annonce du Pontife Benoît XVI, les questions en suspens restent toujours nombreuses. Par exemple, comment faudra-t-il s’adresser à Benoît XVI après le 28 février ? Par contre, Benoît XVI il ne pourra pas renoncer à son nom de pape qui restera pour toujours dans l’Histoire de l’Église.

La situation elle évolue jour après jour, mais des réponses sont déjà arrivées sur d’autres questions : Mgr Georg Gänswein accompagnerait le Pape à Castel Gandolfo, le 28 février 2013 en fin d’après-midi. Le secrétaire personnel de Benoît XVI restera ensuite avec lui, après la fin de son pontificat, et il vivra avec le pape dans le monastère du Vatican. Et avec eux, les Memores Domini c’est-à-dire les quatre laïques de la famille pontificale. Monseigneur Gänswein restera par contre le préfet de la Maison pontificale.

Le Conclave pourrait avoir lieu 15 à 20 jours après le début de la vacance du Siège apostolique, mais le calendrier reste encore à préciser à partir du 1er mars. C’est aussi dès le 1er mars que les Cardinaux réunis à Rome pourront loger dans la résidence Sainte-Marthe, la résidence du Collège des Cardinaux. C’est-à-dire dès la vacance du Siège apostolique, mais pas avant.

En perspective du nouveau Conclave, un vademecum qui raconte l’État le plus petit du monde a été présenté jeudi 14 février dans la Salle des réunions des Musées du Vatican. Un manuel illustré, riche d’informations, qui aide à se familiariser avec un microcosme où sont concentrés un nombre impressionnant de chefs-d’oeuvre, de documents diplomatiques, des archives très riches. Le Guide général à la Cité du Vatican est un volume né par la collaboration entre la Librairie Éditrice Vaticane, les Musées du Vatican et la maison d’édition Jaca Book.

« Le volume – a expliqué don Giuseppe Costa, le directeur de la Librairie Éditrice Vaticane – se présente comme un véritable manuel culturel qui approfondit les divers aspects d’un parcours à l’intérieur de la Cité du Vatican ». En ce sens, l’essai a abordé tous les aspects culturels de l’ensemble du complexe de Saint-Pierre, de la Bibliothèque du Vatican et des Archives. Et encore les chambres de Raphaël, les jardins. Le volume représente le premier guide qui met en lumière la structure de l’État du Vatican.

Antonio Torrenzano

 

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L’Allemand Ernst von Freyberg, avocat et membre de l’Ordre de Malte, a été nommé ce matin à la tête de l’IOR, l’Institut pour les Oeuvres de Religion, privée de président depuis le limogeage d’Ettore Gotti Tesdechi en mai 2012.

La décision a été prise par la Commission cardinalice de surveillance de l’Institut à l’issue d’une « profonde évaluation et d’une série d’entretiens qui ont duré plusieurs mois ». Elle a reçu l’assentiment du Pontife, selon un communiqué diffusé par le Bureau de presse du Saint-Siège.

Au cours d’une conférence de presse, le Directeur de la salle de presse le père Federico Lombardi a précisé qu’y avait 40 candidats pour la présidence de l’Institut. Le Vatican, depuis plusieurs mois, a redoublé ses efforts pour une transparence de ses institutions financières.

Antonio Torrenzano

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L’annonce de la démission de Benoît XVI a provoqué une forte émotion un peu partout dans le monde. Nombreuses, elles ont été les réactions que dans ces jours sont arrivées du monde entier auprès du Saint-Siège à commencer par celles des épiscopats. Messages de soutien, de remerciement, mais aussi de surprise se succèdent à Rome d’heure en heure à commencer par les pays que le Pontife a visités.

La conférence épiscopale de Cuba, où Benoît XVI s’est rendu en mars 2012, a par exemple déclaré « La Nouvelle, qui a surpris le monde, nous saisit de chagrin et nous prive de sa présence lumineuse et de ses précieux enseignements ». Pour Mgr Carlos Aguiar Retes, archevêque de Tlalnepantla au Mexique et président du Conseil épiscopal Latino-américain (Celam): «l’importante et surprenante décision de Benoît XVI témoigne bien de sa personnalité, celle d’un homme de foi, qui a une grande confiance en l’Esprit Saint qui guide l’Église ».

Pour le cardinal Oswald Gracias, archevêque de Bombay et président de la conférence épiscopale indienne : « La raison que le Saint-Père donne pour justifier sa démission reflète clairement son amour pour l’Église et son courage. En sentant que sa santé faiblissait, il n’ a pas voulu que l’Église soit d’une certaine manière désavantagée en raison de sa personne, et il a eu le courage de faire ce qui n’était pas arrivé depuis 600 ans. Un grand maître spirituel va manquer pour notre temps, un homme à la clarté d’esprit sur les affaires religieuses comme séculières, et n’ayant pas peur de parler en vérité de thèmes relatifs à la foi ou à la morale. L’Inde a aimé le Pape et nous prions tous pour lui. » Le Cardinal Polycarpe Pengo, archevêque de Dar Es Salam en Tanzanie en revanche a affirmé : « (…) Sa décision est une leçon pour tous les leaders qui se sont accrochés au pouvoir à tel point que leurs peuples souffrent parce qu’ils ont échoué à les servir ».

Au Liban, qui restera désormais le dernier voyage apostolique du pontificat de Benoit XVI, les différentes communautés religieuses se souviennent d’un Saint-Père qui avait fait l’unanimité au mois de septembre 2012. Pour Fady Noun, journaliste, spécialiste des questions religieuses et directeur adjoint au journal libanais francophone L’Orient-Le Jour, Benoît XVI est un grand théologien qui devrait rester au premier plan, même après son pontificat.

Antonio Torrenzano

 

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L’audience générale de mercredi 13 février sera rappelée dans l’histoire de l’Église surement comme inédite. Une rencontre avec les milliers de fidèles très émouvante pendant laquelle Benoit XVI a expliqué encore une fois sa décision difficile et grave annoncée lundi : celle de démissionner de sa charge de Pontife. Et puis l’après-midi, la messe des Cendres : cérémonie traditionnelle d’entrée en Carême.

Pour ces circonstances exceptionnelles, la messe s’est déroulée dans la basilique de Saint-Pierre et non dans la basilique de Sainte-Sabine, située sur la colline romaine de l’Aventin. Basilique qui a toujours accueilli le Pape dans le premier jour de Carême. Dès le début de son homélie, le Pape a rappelé le symbole exceptionnel de cette célébration. Alors qu’il se prépare à conclure son ministère de Pape, il a demandé aux fidèles de prier pour la vie de l’Église dans cette période ainsi particulière. Commentant les lectures de la messe, Benoît XVI a regretté une fois encore que le visage de l’Église ait été défiguré. Il a évoqué notamment les péchés contre l’unité de l’Église et les divisions au sein du corps ecclésial. Il a invité les catholiques à profiter du carême pour vivre plus intensément la communion ecclésiale en surmontant les individualismes et les rivalités, à ne pas se limiter à dénoncer les scandales et les injustices des autres, mais à agir sur leurs propres consciences. Le Pape a réclamé une fois de plus une purification de l’Église.

L’archiprêtre de la Basilique Saint Pierre, le Cardinal Angelo Comastri a imposé les cendres sur le front du Pontife. Cet honneur aurait dû incomber au Cardinal Jozef Tomko, titulaire de la Basilique de Sainte Sabine, mais vu les inédites circonstances, la messe s’est déroulée à Saint-Pierre.

Antonio Torrenzano

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Benoît XVI maintiendra tous les engagements de son agenda jusqu’au 28 février, y compris les audiences à plusieurs chefs d’État, dont les présidents du Guatemala et de Roumanie. Le directeur de la salle de presse vaticane l’a précisé hier à midi. Le père Federico Lombardi a rappelé aussi que le 27 février 2013 sera le jour de la dernière audience générale du Pape.

Le 27 février, Benoît XVI en profitera pour faire en quelque sorte ses adieux, et l’audience devrait se tenir à place Saint-Pierre étant donné que beaucoup de monde est attendu. “Aucun autre évènement spécial n’est prévu, a précisé le chef de la salle de presse vaticane. La messe d’aujourd’hui (mercredi des Cendres), elle sera la dernière grande célébration à laquelle participeront de très nombreux cardinaux.

Concrètement, pendant les deux prochaines semaines, tous les engagements du Pontife Benoît XVI seront maintenus, c’est-à-dire les rencontres avec les présidents guatémaltèque et roumain, les Angélus le dimanche et les audiences générales du mercredi. Mais tous ces rendez-vous auront une saveur particulière : ce seront les derniers de Benoît XVI.

La dernière audience générale, le mercredi 27 février, sera l’occasion pour Benoît XVI de faire ses adieux. Le 28 février, à 20 heures, le Pape quittera ses fonctions. À cet horaire, parce que d’habitude c’est l’heure à laquelle le Saint-Père, il termine sa journée de travail.

Antonio Torrenzano

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La démission d’un pape est un événement quasi inédit dans l’histoire moderne de l’Église. La reconstruction historique des cas où un pontificat s’est interrompu avant la mort d’un pape ne nous reconduit à très peu de figures et en aucun cas à une situation comme celle qui s’est présentée avec la décision de Benoît XVI.

Seul un ermite, le Pape Célestin V avait pris la décision de renoncer au ministère de Pierre en 1294. C’est-à-dire, il y a plus de huit siècles et seulement quelques mois après son élection. Célestin V avait alors évoqué comme Benoît XVI des motifs simples à sa démission : l’âge, la maladie et le désir de se retirer dans son ermitage. Avant Célestin V, d’autres papes s’étaient déjà retirés lors de circonstances historiques particulières plus ou moins connues. Par exemple, le pape Martin Ier, arrêté puis exilé en Grèce en 653 par l’empereur d’Orient. En 964, 300 ans plus tard, le pape Benoît V, souvent présenté comme un antipape, était déposé par l’empereur Otton Ier, et il acceptait la sentence en renonçant de ce fait au pontificat.

On sait encore que le pape Jean XVIII est mort en 1009 à Rome comme simple moine de Saint-Paul-hors-les-Murs, que le pape Sylvestre III, expulsé par son rival Benoît IX en 1045, ne s’est plus occupé ensuite que de son diocèse, et que le même Benoît IX abdiqua quelques mois plus tard en faveur du pape Grégoire VI. Enfin, après Célestin V, le pape Grégoire XII renonça lors du Concile de Constance en 1415, et se retira comme simple cardinal-évêque. C’était l’époque du grand schisme d’Occident. L’Église se trouvait alors en présence de trois papes concurrents.

Antonio Torrenzano

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Benoît XVI a décidé de quitter ses fonctions. Il l’a lui-même annoncé lundi en fin de matinée. La nouvelle a créé une forte émotion dans toute l’Église catholique. Le Pontife s’est exprimé en latin à la fin d’un Consistoire public convoqué pour l’approbation de trois décrets concernant des canonisations. Le moment était donc bien choisi.

Benoît XVI a reconnu qu’il s’agissait d’une décision de grande importance pour la vie de l’Église. Le Pape démissionne parce qu’il estime que son âge ne lui permet plus d’exercer la mission qui lui a été confiée. Il reconnait son incapacité à bien administrer son ministère. Le Pontife continuera à servir l’Église par une vie consacrée à la prière. À partir du 28 février, le siège sera vacant et un conclave sera convoqué. Benoît XVI continuera à résider au Vatican, dans un monastère cloitré.

Nous avons demandé à Romilda Ferrauto, rédactrice en chef de la section française de Radio Vatican, ses réflexions sur les décisions de Benoit XVI : « Le Pape ne recule pas devant les loups. Il ne fuit pas les nombreuses crises et polémiques qui ont jalonné son pontificat : Vatileaks, le scandale des abus sexuels. Sa démarche, sans précédent, désoriente, certes, une large partie du peuple de Dieu ; mais quand on y regarde de plus près, elle suscite l’admiration. Car il faut du courage pour partir, il faut de l’humilité pour admettre ses limites, il faut beaucoup de finesse et de clairvoyance pour savoir ce dont l’Église a besoin, à ce moment précis de l’histoire. Benoît XVI n’est pas un impulsif qui agit sous le coup d’une émotion. C’est un homme de foi, cohérent, animé par son amour de Dieu et de l’Église. Sa décision profonde et spirituelle est sans aucun doute le fruit d’une longue réflexion, un geste qui lui ressemble. Le Pape aura le temps jusqu’au 28 février d’en expliquer lui-même le sens et la portée. Dès le début de son pontificat, il avait marqué sa différence, alors qu’on le comparait à son prédécesseur Jean-Paul II dont la souffrance, largement relayée par les caméras des télévisions, avait ému le monde entier ».

Peu à peu, précise Romilda Ferrauto, « il a imprimé sa marque dans l’Église faisant preuve de fermeté et de transparence. L’intellectuel austère a tenu la barre avec détermination et n’a jamais donné l’impression de ne plus pouvoir gouverner. Ces dernières semaines, on l’avait vu faiblir, prendre de l’âge ; il apparaissait parfois très fatigué. Or Benoît XVI, estime que les temps ont changé, qu’ils sont plus exigeants. Et il sait que l’Église ne se résume pas à la personne du Pape. Certains commentateurs affirment déjà que sa démission et cette annonce publique et inédite a fait entrer l’Église dans la modernité. Un signe prophétique qui ouvre la porte à des changements ».

Antonio Torrenzano

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Benoît XVI en annonçant sa démission lundi 11 février au matin au cours de la réunion d’un consistoire de cardinaux, il a fait usage de l’article 332 du droit canon de l’Église catholique. Le code de droit canon prévoit deux dispositions en cas de vacance du siège pétrinien : la première en cas de décès d’un pape, la seconde en cas de renonciation. Sur la renonciation, le paragraphe 2 de l’article 332 précise : « S’il arrive que le Pontife Romain renonce à sa charge, il est requis pour la validité que la renonciation soit faite librement et qu’elle soit dûment manifestée, mais non pas qu’elle soit acceptée par qui que ce soit».

En cas de vacance, voici ce que prévoit l’article 335 : « Quand le siège de Rome devient vacant ou totalement empêché, rien ne doit être innové dans le gouvernement de l’Église tout entière ; les lois spéciales portées pour ces circonstances seront alors observées ». Benoît XVI a parfaitement respecté la lettre de cette disposition. Il a renoncé à sa charge «librement» et l’a déclaré dans un texte très bref, en langue latine, dans lequel le 265e pape de l’Histoire dit qu’en raison de l’avancement de son âge, il « ne se sent plus apte à exercer adéquatement le ministère de Pierre ». Sa démission prendra effet le 28 février. Benoît XVI, élu pape le 19 avril 2005, aura 86 ans le 17 avril 2013.

Quel rôle pour le collège cardinalice ? À noter la loi fondamentale « Universi Dominici Gregis » (« Tout le troupeau du Seigneur ») signée par Jean-Paul II le 22 février 1996 et modifiée par un motu proprio de Benoît XVI en 2007, qui fixait les règles à suivre en cas de vacance du siège apostolique. Elle précise notamment que pendant la vacance du Siège apostolique, le Collège des cardinaux n’a aucun pouvoir ni aucune juridiction sur les questions qui sont du ressort du Souverain Pontife, durant sa vie ou dans l’exercice des fonctions de sa charge et que lorsque que le Siège apostolique est vacant, le gouvernement de l’Église est confié au Collège des cardinaux seulement pour expédier les affaires courantes.

Deux cardinaux auront un rôle-clé depuis le 28 février à 20h : le cardinal camerlingue, en l’occurrence le secrétaire d’État Tarcisio Bertone. Son rôle sera d’expédier les affaires courantes; le doyen du Sacré Collège, le cardinal Angelo Sodano. C’est lui qui sera chargé de présider les congrégations générales préparatoires à l’élection du nouveau pape. Le même devra convoquer le conclave à Rome pour élire le nouveau Pontife et le même présidera le conclave.

Antonio Torrenzano

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Benoît XVI se démet de ses fonctions, à partir du 28 février 2013. Il l’a annoncé en personne ce matin en langue latine. Ses déclarations en langue française.

« Frères très chers,

Je vous ai convoqués à ce Consistoire non seulement pour les trois canonisations, mais également pour vous communiquer une décision de grande importance pour la vie de l’Église. Après avoir examiné ma conscience devant Dieu, à diverses reprises, je suis parvenu à la certitude que mes forces, en raison de l’avancement de mon âge, ne sont plus aptes à exercer adéquatement le ministère pétrinien. Je suis bien conscient que ce ministère, de par son essence spirituelle, doit être accompli non seulement par les œuvres et par la parole, mais aussi, et pas moins, par la souffrance et par la prière. Cependant, dans le monde d’aujourd’hui, sujet à de rapides changements et agité par des questions de grande importance pour la vie de la foi, pour gouverner la barque de saint Pierre et annoncer l’Évangile, la vigueur du corps et de l’esprit est aussi nécessaire, vigueur qui, ces derniers mois, s’est amoindrie en moi d’une telle manière que je dois reconnaître mon incapacité à bien administrer le ministère qui m’a été confié. C’est pourquoi, bien conscient de la gravité de cet acte, en pleine liberté, je déclare renoncer au ministère d’Évêque de Rome, Successeur de saint Pierre, qui m’a été confié par les mains des cardinaux le 19 avril 2005, de telle sorte que, à partir du 28 février 2013 à vingt heures, le Siège de Rome, le Siège de saint Pierre, sera vacant et le conclave pour l’élection du nouveau Souverain Pontife devra être convoqué par ceux à qui il appartient de le faire ».

La décision de Benoît XVI de renoncer à ses fonctions d’évêque de Rome – a précisé le père Federico Lombardi – n’est pas le fruit de pressions extérieures, mais simplement le « désir de rester dans l’obéissance à la Parole de Dieu ». Devant plusieurs centaines de journalistes qui ont pris d’assaut la salle de presse, le père Federico Lombardi a expliqué avec attention les raisons qui ont poussé le Pape a quitté ses fonctions à partir du 28 février à 20h00. Il a également développé les grandes étapes qui vont suivre la démission du Pape jusqu’à l’élection du nouveau successeur de Pierre.

Antonio Torrenzano

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L’année 2012 est en train de terminer et voilà, encore une fois comme chaque mois de décembre, le temps de faire un bilan. Je veux simplement remercier tous ceux qui m’ont honoré de leur visite sur ces pages numériques. Merci à tous nos lecteurs et nos lectrices, qu’il s’agisse de visiteurs ou d’abonnés. Vous avez été nombreux et nombreuses à lire mes billets et visiter mon carnet depuis son lancement au 1er janvier 2007. Pour tout ça,  je vous en remercie du fond du cœur. Merci également à ceux qui laissent des commentaires, des critiques, des suggestions, leurs points de vue. Je tiens à remercier encore tous les maitres à penser, tous les prix Nobel, tous les écrivains, qui ont bien voulu nous accorder des entretiens et répondre à nos questions. J’espère que par ces conversations et ces dialogues, nous avons pu fixer de nouvelles idées qui pourront être des options pour demain.

Antonio Torrenzano