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Bruno Parmentier est ingénieur des Mines et économiste. Depuis le 2002, il rejoint le milieu agricole en prenant la direction d’une école d’ingénieurs en agriculture. En 2009, l’auteur publie «Nourrir l’humanité», essai qui cherche d’analyser le plus que gigantesque problème des huit cent cinquante millions de personnes qui dans le monde ne peuvent manger à leur faim. Dans cette vidéo, Bruno Parmentier expose toutes les facettes de cet urgent problème du XXIe siècle.

 

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Conversation avec Jean-Pierre Dupuy, polytechnicien et ingénieur des mines, est professeur de français et chercheur au Centre d’Étude du Langage et de l’Information (C.S.L.I.) de l’université Stanford, en Californie. Il est aussi philosophe des sciences, et il a enseigné la philosophie sociale et politique et l’éthique des sciences et techniques jusqu’en 2006 à l’Écolepolytechnique. Il est également membre de l’Académie des technologies. Jean-Pierre Dupuy est aussi fondateur avec d’autres membres du Collegium international éthique, politique et scientifique, association qui souhaite « apporter des réponses intelligentes et appropriées qu’attendent les peuples du monde face aux nouveaux défis de notre temps. » Auteur de nombreux essais, traduits dans plusieurs langues diplomatiques, dont «Avions-nous oublié le mal ? Penser la politique après le 11 septembre», Paris, Bayard, 2002; «La Panique. Les empêcheurs de penser en Rond», 2003; «Pour un catastrophisme éclairé, quand l’impossible est certain»,Paris, Seuil, 2004 ; « Petite métaphysique des tsunamis »,Paris, Seuil, 2005;«Retour de Tchernobyl, Journal d’un homme en colère », Paris, Seuil, 2006; «La marque du sacré : essai sur une dénégation», Paris, Carnets Nord, 2009; «Dans l’œil du cyclone », Carnets Nord, 2009. La conversation avec le professeur a eu lieu à Modène à la fin du mois de septembre 2010 pendant le Festival international de la philosophie organisé par la Fondation Collegio San Carlo.

Antonio Torrenzano. Pourquoi affirmez-vous qu’il soit utile de faire comme si le pire était inévitable ?

Jean-Pierre Dupuy. Le pire n’est jamais certain, mais il est parfois utile de faire comme s’il était inévitable. Le certain et le nécessaire sont deux prédicats qu’il convient soigneusement de distinguer. Comme disait Jorge Luis Borges : « L’avenir est inévitable, mais il peut ne pas avoir lieu ». Ce qui fait qu’un destin puisse ne pas s’accomplir est aussi ce qui fait qu’il s’accomplisse.

Antonio Torrenzano. Est-ce que par exemple, le réchauffement climatique ou plus en général la crise écologique pouvait être évité ?

Jean-Pierre Dupuy. En conclusion de son film « Une vérité qui dérange», Al Gore formule des propos qu’un spectateur inattentif a tendance à tenir pour des lieux communs, alors qu’ils posent un problème philosophique considérable: «Les générations futures auront vraisemblablement à se poser la question suivante – affirme l’ancien vice-président américain après avoir montré les conséquences pénibles que le changement climatique en cours produira si l’humanité ne se mobilise pas à temps – à quoi pouvaient donc bien penser nos parents ? Pourquoi ne se sont-ils pas réveillés alors qu’ils pouvaient encore le faire ? Cette question qu’ils nous posent, c’est maintenant que nous devons l’entendre.» Mais comment, dira-t-on, comment donc pourrions-nous recevoir un message en provenance de l’avenir ? Si ce n’est pas là simple licence poétique, que peut bien signifier cette inconcevable inversion de la flèche du temps ? Les responsables de Greenpeace ont trouvé un moyen plaisant et efficace de poser la même question, sinon de la résoudre, lors du sommet raté de Copenhague sur le changement climatique. Sur des affiches géantes, ils ont vieilli de dix ans les principaux chefs de gouvernement d’aujourd’hui pour leur faire dire: «Je m’excuse. Il nous était possible d’éviter la catastrophe climatique. Mais nous n’avons rien fait.» Suivait l’injonction : «Agissez maintenant et changez l’avenir.» Je pourrais en continuant multiplier les exemples.

Antonio Torrenzano. Deux prédilections développées par la philosophie que nous appelons métaphysique, et même par son rameau de la logique métaphysique.

Jean-Pierre Dupuy. Sans doute que devant des défis aussi gigantesques que ceux qui pèsent sur l’avenir de l’humanité, il est impossible de ne pas poser à nouveau frais les grandes questions qui l’agitent depuis l’aube des temps. Ces manières de jouer avec le temps sont autant de façons de nous enjoindre de donner un poids de réalité suffisant à l’avenir. Car pour donner sens à l’idée que l’avenir nous regarde et nous juge maintenant, il faut bien que, d’une façon à déterminer, l’avenir soit dès à présent ce qu’il sera. Est-ce que cela implique du fatalisme ?

Antonio Torrenzano. Faut-il en déduire que tout est déjà écrit d’avance ?

Jean-Pierre Dupuy. La réponse est négative, mais il faut beaucoup de travail théorique pour s’en convaincre. Un concept controversé de la philosophie morale peut nous y aider : celui de «fortune morale». Si le concept de fortune morale n’a pas toujours eu bonne presse, c’est qu’il a servi à justifier les pires abominations. Le général Curtis Lemay, par exemple, le premier patron du Strategic Air Command, c’est-à-dire des forces aériennes américaines pendant la guerre du Pacifique, qui, en tant que tel,fut responsable de la destruction par bombes incendiaires de 70 villes du Japon impérial, le tout couronné par le largage de deux bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki, eut un jour ce mot: « Si nous avions perdu la guerre, nous aurions été jugés et condamnés comme criminels de guerre». Qu’est-ce qui fait qu’une même action est morale si on gagne et immorale si on perd ? Il y a cependant des circonstances où le concept de fortune morale pose moins de problèmes. Dans la question qui nous occupe, on peut raisonner ainsi : l’humanité prise comme sujet collectif a fait un choix de développement de ses capacités virtuelles qui la fait tomber sous la juridiction de la fortune morale. Il se peut que son choix mène à de grandes catastrophes irréversibles; il se peut qu’elle trouve les moyens de les éviter, de les contourner ou de les dépasser. Personne ne peut dire ce qu’il en sera. Le jugement ne pourra être que rétrospectif. Cependant, il est possible d’anticiper, non pas le jugement lui-même, mais le fait qu’il ne pourra être porté que sur la base de ce que l’on saura lorsque le voile de l’avenir sera levé. Il est donc encore temps de faire que jamais il ne pourra être dit par nos descendants : « trop tard ! ». Un trop tard qui signifierait qu’ils se trouvent dans une situation où aucune vie humaine digne de ce nom n’est possible. « Nous voici assaillis par la crainte désintéressée pour ce qu’il adviendra longtemps après nous – mieux, par le remords anticipateur à son égard », écrit le philosophe allemand Hans Jonas, à qui nous devons le concept d’éthique du futur : non pas l’éthique qui prévaudra dans un avenir indéterminé, mais bien toute éthique qui érige en impératif absolu la préservation d’un futur habitable par l’humanité. L’avenir a besoin de nous, gens du présent. Si par malheur nous devions détruire toute possibilité d’un avenir vivable, c’est tout le sens de l’aventure humaine, depuis la nuit des temps, que nous réduirions à néant. C’est donc nous qui avons besoin de l’avenir, beaucoup plus que l’inverse.

Antonio Torrenzano

 

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Edgar Morin est écrivain,sociologue, directeur de recherche émérite au CNRS. Edgar Morin est docteur honoris causa de plusieurs universités à travers le monde dont de l’université de Natal, Université de Porto Alegre et Université de Joa Pessoa au Brésil. Son travail a exercé et il continue à exercer une forte influence sur la réflexion contemporaine, notamment dans le monde méditerranéen et en Amérique latine. Il a créé et préside l’Association pour la pensée complexe (APC). Il est membre du comité de parrainage de la Coordination française pour la Décennie de la culture de paix et de non-violence. Il soutient, depuis sa création en 2001, le fonds associatif Non-Violence XXI. Auteur de nombreux essais, traduits dans plusieurs langues étrangères, nous rappelons les derniers: «Éduquer pour l’ère planétaire, la pensée complexe comme méthode d’apprentissage dans l’erreur et l’incertitude humaine» (avec Raul Motta, Émilio-Roger Ciurana), Balland,2003; «Université, quel avenir?» (avec Alfredo Pena-Vega), Paris, éditions Charles Léopold Mayer, 2003; «Pour entrer dans le XXIe siècle», réédition de Pour sortir du XXe siècle publié en 1981, éditions Le Seuil, 2004; «L’an I de l’ère écologique» (avec la collaboration de Nicolas Hulot), Paris, Tallandier, 2007; «Vers L’abîme», Paris, L’Herme, 2007.

 

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Comment se répartira la richesse du monde d’ici 2050 ? Quelles seront les conséquences probables du conflit de plus en plus ouvert entre les économies du nord de la planète et les Pays émergents ? Alors que la production mondiale devrait plus que tripler d’ici 2050, d’où viendront les matières premières et l’énergie pour alimenter cette gigantesque entreprise humaine ? Serons-nous étouffés par la pollution et le réchauffement climatique ? Mais surtout, qui va dominer ce monde en fusion ? Les États-Unis ? La Chine ? L’Inde ? Et quel sera le rang de l’Europe ?

Quels conflits entre quels acteurs vont écrire l’Histoire du monde dans les prochaines décennies du XXI siècle ? Avons-nous le temps de nous préparer à ces confrontations dont les plus dures risquent de survenir avant dix ans ? Le XX siècle nous a laissé d’importants héritages: le réchauffement climatique, la croissance démographique, les conflits religieux, le terrorisme, la finance sans règles. Ils sont quelques-unes des principales questions du siècle passé auxquelles la communauté internationale dix ans après les années 2000 n’a pas encore donné des réponses claires.

La fondation Pio Manzù de Rimini a déterminé dans ces questions encore obscures les grands enjeux du XXI siècle. Répondre à ces questions est désormais essentiel avec précision, passion et clarté. Du 15 au 17 octobre 2010, la XXXVI édition des journées internationales d’étude s’occupera de ce thème avec le suivant titre : «Challenge 21. L’humanité entre besoins et incertitudes. Retrouver la raison, partager de valeurs, exprimer de nouvelles solutions pour l’avenir ». Nombreux d’invités discuteront à ce sujet dont Jean-Claude Trichet, président de la Banque centrale européenne, Shirin Ebadi prix Nobel pour la paix 2003, François Héran directeur de l’INED, Ray Hammond, Peter Neumann, directeur du Centre de recherche internationale for the study of radicalisation and political violence du King’s College de Londres, Patrick Moore président de Greenpeace, Hernado de Soto université de Lime, José Angel Oropeza IOM-ONU. Pour suivre les journées internationales d’étude, la consultation en ligne est accessible au suivant adresse http://www.piomanzu.org

Antonio Torrenzano

 

 

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Dans une conversation avec le journaliste Antonio Polito, Éric Hobsbawm disait : «demander ce que l’avenir réserve fait partie de la vie comme des affaires; dans la mesure du possible, chacun d’entre nous s’y essaie. Toutefois, prévoir le futur doit se fonder sur la connaissance du passé».

Avons-nous, en paraphrasant Auguste Comte, commis l’erreur de négliger la prédiction et la clairvoyance ? Avons-nous, en pensant toujours à Auguste Comte, oublié la vision de l’avenir ? La mondialisation au lieu de diminuer a probablement accru les inégalités. Comment alors s’orienter dans cet archipel de la complexité et dans cette contemporaineté de contrastes ? Et encore, quels nouveaux calculs devons-nous faire de ce présent suspendu ? Avons-nous de nouvelles clefs pour décrypter notre monde postmoderne, subtil et opaque, virtuel et complexe?

Je l’avais déjà écrit dans un précédent billet : notre temps présent est devenu un endroit des passions glacées, des individus tièdes. De tous ceux qu’ils ont tendance au risque zéro. Nous vivons dans un temps qu’on n’aime pas les émotions abondantes; sans grandes illusions, nous avons appris à anticiper les désappointements. Cette époque de compromis journalier est devenue un lieu de passions sous-accrues qui subissent le désenchantement d’une chute presque générale de valeurs collectives et surtout de l’avenir. Le monde des passions, de celles civiles en particulier, c’est un univers démodé. Cette perte, elle a permis de tomber dans un quotidien médiocre; de réévaluer un temps présent comme le seul possible, quand dans d’autres temps, ce consentement il aurait été accusé de cécité.

La question fondamentale alors qui se pose aujourd’hui, après la première décennie du XXI siècle, est encore la suivante: comment faire manifester, accepter, respecter et promouvoir les valeurs humaines, non en contraste, ni même en juxtaposition, mais en corrélation avec les indicateurs économiques de rationalité maximale, les indicateurs sociaux et de la croissance optimale ? Alors, vers quoi se tourner ? De quelle clairvoyance avons-nous aujourd’hui besoin ?

Paul Valery le disait : « Le futur n’est écrit nulle part », il est entre nos mains. Pour ce faire avons-nous pris la mesure du possible dans ce siècle nouveau ?

Antonio Torrenzano

 

 

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L’ile de Stromboli est avec certitude la plus voluptueuse et la plus intrigante de l’archipel des îles éoliennes de la mer Méditerranée occidentale. Le nom de l’île dérive de l’ancienne culture grecque qui a donné ce nom au volcan pour ses formes sinueuses. Stromboli s’étend sur une superficie de 12.6 km et elle est la seule des sept îles éoliennes à posséder un volcan encore en activité. L’île de Stromboli est connue, fréquentée et habitée depuis l’antiquité. L’ensemble des résidants sur l’île pendant l’hiver est d’une centaine d’individus. Aujourd’hui, les principaux villages habités sont San Vincenzo, Piscità et Ficogrande. L’économie s’est toujours appuyée sur une production agricole typiquement méditerranéenne : des oliviers, des vignes, dont la «malvasia» cultivée dans les jardins en terrasse, des figuiers. Le tourisme représente la principale ressource économique d’île.

Au sud-ouest de l’île, il y a Ginostra que l’on peut rejoindre seulement en bateau. Ginostra est un endroit archaïque et magique où en hiver ne vivent que dix habitants. L’île de Strombolicchio, au contraire, est une très petite île au nord-est de Stromboli. Strombolicchio n’est plus qu’un rocher et provient d’une des plus anciennes éruptions volcaniques des Îles éoliennes. La petite île est totalement dépourvue d’eau et de terrain cultivable et par conséquent elle n’est pas habitée. Une légende transmise de père en fils par les habitants de Stromboli, elle veut que le Strombolicchio ne soit rien d’autre que le bouchon de lave du volcan. En réalité, il s’agit d’une portion solidifiée d’un ancien édifice volcanique daté de 360.000 à 200.000 ans. Cet ancien volcan constitue de manière plausible la première phase de l’évolution géologique du complexe volcanique de Stromboli. Aujourd’hui, il est le siège d’un grand phare marin alimenté par l’énergie solaire.

Antonio Torrenzano

 

 

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L’île de Filicudi est la deuxième île éolienne la plus occidentale de l’archipel à l’ouest de Lipari. Elle est dominée par le mont « Fossa Felci », un volcan éteint de 774 m de hauteur. Filicudi a été déclarée patrimoine de l’humanité par l’organisation internationale de l’UNESCO. Un parc régional a été créé sur une partie de l’île. Sur l’île existe une section du Musée archéologique éolien de Lipari avec des vestiges provenant du promontoire de Capo Graziano et d’autres zones de l’île. Très intéressantes sont les ruines du village néolithique toujours sur le promontoire de Capo Graziano. Les vestiges retrouvés témoignent la présence sur l’île d’une florissante industrie de l’obsidienne.

La population compte à peu près 250 habitants qui vivent entre le Port de Filicudi, Valdichiesa et Pecorini à Mare. Ces lieux sont reliés entre eux par l’unique route asphaltée de l’île parce que les autres sont de chemins de muletier. La principale ressource économique est le tourisme. La pêche n’est pas pratiquée de manière intense et elle reste artisanale et non professionnelle. Du paysage de couleurs nettes à la mer bleu intense, du climat à la table, tout près de l’ile de Filicudi parle d’un endroit ancien de la mer méditerranéenne.

Antonio Torrenzano

 

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L’île de Alicudi est la plus occidentale de l’archipel éolien. L’île est située à peu près à 34 miles marins à l’ouest de Lipari. L’ile est dominée par le mont « Filo Dell’Arpa », un volcan éteint parfaitement circulaire. De nature volcanique, la terre à Alicudi est particulièrement fertile et cultivable. Encore aujourd’hui, on peut noter d’anciennes cultures en terrasses qui cassent les versants du volcan et ont permis aux habitants de vivre de l’agriculture ainsi que de la pêche.

Le tourisme est une partie importante de l’économie de cette petite île éolienne, même si sa conception reste mineure par rapport aux autres îles. On accède à la mer seulement par des rochers ou de petites plages de cailloux. Alicudi est habitée seulement sur le versant oriental et compte environ 100 habitants. L’île est reliée à Lipari, l’île majeure, avec un service maritime, soit par hydroglisseur, soit par bateaux.

Antonio Torrenzano

 

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Les îles éoliennes sont un archipel volcanique au nord de la Sicile dans la mer méditerranéenne. Les îles représentent un lieu idéal pour l’étude de la vulcanologie et la géologie, mais également une destination touristique appréciée qui attire plus de 500 000 visiteurs chaque année. L’archipel est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’humanité établie par l’organisation internationale UNESCO depuis l’an 2000.

Au total, l’archipel est composé de dix-sept îles, mais seulement sept sont habitées. Toutes les îles ont une origine volcanique, mais seulement les îles de Vulcano et de Stromboli ont encore un volcan actif. Une légende veut qu’Éole ait colonisé l’archipel pendant la guerre de Troie. Seules trois îles sont accessibles aux automobiles. Les sept îles habitées de l’archipel sont : Lipari (l’ile principale de l’archipel), Salina, l’île de Vulcano avec son volcan de 391 mètres d’altitude qui émet encore des fumerolles, Panarea, Filicudi, Alicudi (l’île la plus occidentale de l’archipel) et Stromboli avec son célèbre volcan encore en activité.

Antonio Torrenzano